LeStudio1.com
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Archives Blogue de l'éditeur 2006
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Paul Martin et
Jean Chrétien...
J'ai eu l'occasion de rencontrer Paul
Martin une dizaine de fois. La
première était à l'inauguration du
Centre Molson. Nous étions dans la
même loge pour le match de hockey
d'ouverture (Janvier 1996). Paul
Martin m'était alors apparu un grand
fan de l'équipe Les Canadiens mais
surtout ce que l'on appelle un
« trouper». Un gars d'équipe. Mais
voilà qu'il y a au moins trois livres
qui viennent d'être publiés et qui
accusent Paul Martin du contraire.
Qui dit vrai? Jean Chrétien m'avait
confié un jour avant un discours:
« Je vais voir comment la foule
réagit et je vais m'ajuster. La durée
de ma conférence dépendra des gens
dans la salle. Je parlerai 5 minutes
ou 1 heure, ça dépendra d'eux!»
Paul Martin a oublié la règle
fondamentale de la politique:
«Il faut s'ajuster à son public au
risque d'attendre pour afficher ses
véritables intentions.»
Lundi 2 octobre 2006
Paul Martin - Photo par Bernard Bujold  (Juin 2003)
Jean Chrétien -  Photo Couverture livre Michel
Vastel
(Novembre 2003)
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Guy Fournier l'homme qui
aime séduire...
Guy Founier a toujours été très généreux. C'est
probablement cette générosité qui l'amenait à
accorder des entrevues aux radios communautaires.
J'ai côtoyé Guy Fournier occasionnellement car il
était un ami de la famille Péladeau. Contrairement
à d'autres, il a continué à me saluer après mon
départ de Quebecor... Ne serait-ce que pour cette
raison, je lui accorde un certain respect personnel.
Quand je pense à Guy Fournier, deux images me
viennent à l'esprit. La première, ce sont les
caméras de TQS. En 1986, il avait proposé que les
journalistes soient munis d'une caméra portative,
ce qui leur permettrait d'être toujours prêts à
capter une nouvelle. Le syndicat des journalistes
était monté au barricades! La deuxième image est
celle de la séduction. Guy disait souvent:
«Je ne suis pas très beau mais j'aime les femmes.
Heureusement, j'ai découvert que je peux les
séduire avec ma cuisine...»
Lundi 2 octobre 2006
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Juliette Binoche à Montréal
Juliette Binoche sera à Montréal pour le festival
Cinemania! J'ai reçu l'avis sur mon portable alors
qu'un des sujets de la chronique LeStudio1.com
venait tout juste de me demander de retirer
l'article le concernant car il préférait ne pas
ébruiter l'histoire en question. Nous avons
toujours des sujets de rechange mais là,
Juliette est arrivée à point! L'actrice française
s'est fait connaître dans de nombreux films et
mon favori demeure «Le patient anglais». Je ne
suis pas très émotif mais j'avais versé quelques
larmes en visionnant ce film lors de sa sortie en
1997. J'ai bien hâte en novembre d'aller saluer
madame Binoche en personne... et bien sûr
de visionner son nouveau film.
Lundi 2 octobre 2006
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La belle vie en condo...
Montréal est une ville qui compte
de plus en plus de condos. Il semble
aussi que l'on en comptera encore
beaucoup d'autres. Ce style de vie
a ses avantages car il permet
d'encadrer les responsabilités
d'entretien et de la sécurité d'une
façon commune et économique.
Mais il y a aussi de nombreux
désavantages et l'un de ceux-là est
le côté anonyme et le voisinage qui
est pour ainsi dire inexistant. Vivre
en condo c'est comme vivre en
hôtel. Montréal est devenu une
sorte de club Med géant. J'habite
un condo et je peux donc vous en
parler en connaissance de cause.
Je regrette parfois le petit village
de pêcheur gaspésien où j'ai
grandi.
(St-Siméon de Bonaventure)
Lundi 9 octobre 2006
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Le journalisme d'enquête
(la suite)...
J'ai toujours admiré le journalisme
d'enquête. Cet engouement a
évidemment commencé avec
l'affaire du Watergate. Ici au
Canada nous avons eu l'affaire des
commandites qui se rapprochait un
peu du scandale américain. La
similitude entre tous les dossiers
de journalisme d'enquête est qu'un
seul individu (le journaliste) peut
faire tomber une institution.
L'affaire Enron est un exemple où
le questionnement d'un seul
journaliste a remis en question
la gestion de l'empire financier.
Le journalisme d'enquête démontre
qu'un seul homme peut changer le
monde avec de simples mots.
N'est-ce pas extraordinaire?
Lundi 9 octobre 2006
Village de Percé (Gaspésie - Québec)
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L'industrie québécoise de la mode...
L'industrie québécoise de la mode est en excellente
santé sur le plan des idées mais en phase terminale au
niveau de la production locale alors que l'on déménage
vers la Chine les ateliers de couture. Selon-moi, le
constat s'applique aussi à tous les autres secteurs de
notre économie nationale. Les dirigeants d'entreprises
gèrent en financiers et ils utilisent des formules
mathématiques afin de maximiser les profits et le
rendement aux actionnaires. Mais ils n'ont pas le choix
car les consommateurs veulent payer le moins cher
possible pour ses produits. Les producteurs doivent donc
réduire les coûts de fabrication au maximum. L'économie
est une roue qui tourne et trop lente, elle va s'arrêter. Il
faut revenir à un juste salaire pour un juste labeur et se
rendre compte que rien n'est gratuit. La réduction
perpétuelle des prix ne peut résulter qu'en une
élimination progressive des emplois et la fermeture des
entreprises qui font les produits. C'est la logique!
Lundi 16 octobre 2006
Photo défilé Hugo Boss -
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La prédiction du destin...
La société moderne est avancée
d'une façon exceptionnelle sur le
plan technologique mais cela a
aussi multiplié les possibilités de
catastrophes que nous réserve le
destin. L'évolution de la société est
dans les deux sens. Ainsi si les
frontières de la médecine sont
repoussées à un niveau de science
fiction, l'humain fait face à une
fragilité quotidienne qui n'existait
pas auparavant. La crise du verglas
en 1998 nous a bien démontré que
nous ne sommes pas capable de
survivre sans électricité. Notre
alimentation,notre chauffage et tous
nos déplacements sont directement
reliés aux divers systèmes de
communication. On dit que l'histoire
se répète et que l'on revient au point
de départ. Je me demande bien ce
que sera notre monde en 2100...
Lundi 16 octobre 2006
Effondrement du viaduc de Laval
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La survie de l'Opéra de Montréal...
Une institution est le résultat d'un travail d'équipe
mais les leaders à la direction sont ceux qui
influencent directement le succès ou l'échec.  
Il est aussi faux de croire que la notoriété d'une
organisation la rend immortelle. L'exemple en
sport des Expos et des Nordiques et leur
déménagement en sont la preuve. Montréal est
une grande ville et un aspect de sa richesse est sa
grande quantité d'organisations culturelles.
Récemment, les deux plus importants orchestres
symphoniques de Montréal ont été menacés de
fermeture définitive et l'Opéra de Montréal fait
face à la même situation. La cause du problème
est obligatoirement à l'intérieur des institutions.
Le nouveau président du conseil d'administration
de l'Opéra, Alexandre Taillefer, est un jeune
entrepreneur de 34 ans. Je lui souhaite bonne
chance et mon seul conseil sera de bien
comprendre les besoins de ses trois clients:
1. Commanditaires; 2. Spectateurs; et
3. Artistes. Chacune des trois cibles doit trouver
satisfaction dans le produit qui sera offert.
L'Opéra de Montréal en est à sa 27e saison et
le Gala bénéfice 2006 se tiendra le dimanche
3 décembre prochain.
Lundi 16 octobre 2006
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Belinda Stronach...
Je ne fais pas de politique mais ma philosophie
est plutôt conservatrice. Ainsi lorsque Belinda
Stronach s'était présentée à la chefferie du
Parti Conservateur, je l'appuyais et j'espérais
bien qu'elle gagne. Ne serait-ce que par amitié
envers son père que j'ai toujours admiré.
Durant la campagne électorale de 2006, j'ai
appuyé Stephen Harper mais plus à cause de
mes antécédants auprès de Brian Mulroney.
Je viens de terminer l'ouvrage de Don Martin au
sujet de Belinda et je ne peux m'empêcher de
penser que mon appréciation envers Stronach
était justifié. Il y a lieu de s'interroger, à titre
purement académique, comment serait le Canada
si Belinda Stronach avait été élue Première
Ministre du pays? Une question qui ne connaîtra
jamais de réponse car Belinda n'est même pas
dans la course à la chefferie du Parti libéral du
Canada.  Dommage!
Lundi 23 octobre 2006
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L'histoire de la Reine...
Le film  «The Queen» est, selon-moi, un film qui
deviendra un classique dans le répertoire. Je ne
suis pas un grand amateur de cinéma mais
j'apprécie les films offrant une leçon de vie.
Celui au sujet de la Reine Elizabeth II nous
démontre que l'esprit de résilience est essentiel
à la survie et que toute émotion doit être gérée.
Dans le film, comme dans les faits, la Reine a fait
face au démantèlement de sa royauté par le peuple
Britannique. Seule sa force de caractère lui a permis
de revenir sur sa décision et de manifester une
sympathie (fictive) à l'égard du décès de Diana,
ce qui a sauvé son royaume. Il faut comprendre que
la Princesse était l'ennemi moral de la Reine. Non
seulement la Princesse avait pris la place dans le
coeur des Anglais mais une belle mère aime
rarement sa belle fille... Si Elizabeth s'était entêtée
dans ses émotions, son royaume périssait.
Une leçon de vie pour nous tous.
Lundi 23 octobre 2006
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Homme recherche femme...
Cette toile du peintre Girodet est dans mon
esprit la représentation parfaite d'une femme
vraie! La femme de rêve! J'ai été touché
lorsque j'ai découvert cette toile au Musée des
beaux-arts de Montréal à l'exposition Girodet.
Ceci étant dit, j'ai toujours affirmé que les
relations entre hommes et femmes étaient
souvent une complète ironie. Pas moins de
75% de ce que l'on se dit est une fausse facade.
On prétend une chose mais la réalité en est une
autre. La définition du couple par exemple. Les
gens en couple ne recherchent généralement
pas l'amour mais veulent plutôt combler un
besoin matériel: compagnie contre l'ennui,
soutien financier, procréation, sexe, etc...
Et l'amour véritable? C'est un mythe!
Pourquoi se le cacher et raconter des chimères?
L'amour passe mais le besoin matériel demeure.
Conclusion: «J'avais raison...et Vive Girodet!»
(Voir article magazine Clin d'Oeil Nov. 2006)
Lundi 30 octobre 2006
Amazone par Anne-Louis Girodet
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Les magnats de la presse...
David Radler, l'un des trois fondateurs de
l'empire Hollinger, a une opinion assez précise
des relations médias. « Ne racontez jamais vos
histoires car vous allez simplement faire des
jaloux face à vos succès et on va se servir de
ces informations pour vous attaquer. La discrétion
en affaire est la clé de la réussite!» L'histoire lui
a donné raison car c'est le manque d'humilité de
son associé Conrad Black devant les journalistes
qui a mené Hollinger à l'échec. Radler était le
comptable du groupe et Conrad Black a toujours
été le visionnaire tandis que Peter G. White, le
troisième homme, était le négociateur. J'ai
côtoyé White à Ottawa alors qu'il était le chef
du cabinet de Brian Mulroney. C'est un travailleur
infatiguable mais surtout il est honnête dans ses
opinions. Il sait faire la part des choses dans ses
jugements. D'ailleurs, il est le seul à ne pas
être accusé de fraude par la justice.
Les développements dans la saga Hollinger sont
tristes car ils détruisent un autre symbole de
notre société avec les Enron, Norbourg, Cinar,
Guy Cloutier et les autres. Conclusion: «Attention  
lorsque vous parlez aux médias...»
NOTE: Je vais lire le nouveau livre écrit par
Tom Bower, en librairie dès lundi 6 novembre, et
je vous en reparle. L'ouvrage contiendrait des faits
accablants contre Conrad Black et sa femme...
Lundi 6 novembre 2006
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La pauvreté dans le monde...
L'ancien Président des États-Unis,
William J. Clinton, est de nouveau en visite
à Montréal à titre de conférencier.
On dit qu'il serait aujourd'hui plus riche
que son successeur à la présidence des
États-Unis, Georges Bush Jr., grâce à des
investissements immobiliers en banlieue de
New-York. Quoi qu'il en soit, le personnage
fait du bien à la société et son cheminement,
bien que discutable par moment, mérite
d'être regardé sur son ensemble. L'homme
veut aider à combattre la pauvreté dans le
monde et il se sert de sa notoriété pour
convaincre les gouvernements et les
philanthropes à contribuer à sa cause.
Personne n'est parfait mais il faut évaluer
les accomplissements et les échecs
d'un individu avant de le juger.
Le bilan de Bill Clinton est, selon-moi, très
positif. Bonne continuité!
Lundi 6 novembre 2006
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Juliette Binoche...
Qu'est-ce qui fait une légende?
L'actrice Juliette Binoche, l'une
des plus grandes actrices de notre
époque, est une légende. Au cours
des années, j'ai rencontré des
centaines de vedettes et à chaque
fois je contaste que ce qui sépare
les grands des autres repose sur
les mêmes critères. Une légende doit
connaître son talent, être passionnée
envers ce talent et surtout posséder
une énergie physique au delà de la
normale. Binoche possède ces trois
éléments et, en plus, elle est
généreuse et aimable! Puisque son
nouveau film est en quelque sorte
une recherche de l'amour (la famille),
je lui ai demandé sa définition de ce
mot. Selon-elle, l'amour dépasse la
seule sexualité physique avec un
autre individu. «L'amour est un
sentiment qui se retrouve dans
l'ensemble de tous nos échanges
et de notre partage avec le monde qui
nous entoure à chaque jour dans notre
vie.» Ma conclusion: Juliette Binoche
est une femme que l'on ne peut
qu'aimer!
Lundi 13 novembre 2006
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Le livre et l'écrivain...
Certains politiciens prétendent aider les
artistes lorsqu'ils subventionnent le livre.
Les subventions profitent aux industriels
du secteur et les auteurs sont les derniers
à recevoir une rémunération!
Si un livre se vend 20$, en moyenne
40% du prix va au libraire, 25% au
distributeur et 25% à l'éditeur. L'auteur
recevra 10% mais il devra attendre deux
ans avant de toucher son cachet total car
une portion sera retenue par l'éditeur
pour les livres non vendus. De plus, la
durée de vie d'un livre en librairie est
rarement plus de 6 mois, parfois moins.
Voilà pourquoi on ne peut pas considérer
que le livre est un secteur culturel.
L'aspect culturel n'est que le point de
départ du processus et l'on doit plutôt
voir le livre comme une industrie de
marketing. En conclusion, avis aux
auteurs:« Le premier texte à écrire est
votre plan de marketing...»
Lundi 13 novembre 2006
L'éditeur à un Salon du livre de Montréal
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Guy Cogeval....
Le directeur du Musée des beaux-arts
de Montréal, Guy Cogeval, est admiré
par plusieurs, craint par certains et
détesté par quelques uns. On le
compare à l'ex-chef de l'Orchestre
symphonique de Montréal, Charles
Dutoit. Le départ de Cogeval n'est
pas vraiment une surprise et déjà en
juillet dernier la rumeur circulait qu'il
quittait Montréal. J'ai personnellement
reçu un courriel qui me faisait part de
cette décision mais par respect, je n'ai
jamais jugé bon de lui demander de me
préciser la date exacte de l'annonce.
Je considérait qu'il serait insultant de
ma part de le questionnner sur le sujet.
Le Musée des beaux-arts a des projets
immobiliers importants et cela pourrait
signifier un ralentissement des priorités
artistiques. Est-ce la raison qui a
provoqué le départ du directeur?
Il a déclaré vouloir s'occuper de projets
artistiques plutôt qu'administratifs.
Son poste sera convoité et il sera
certainement comblé par un candidat
prestigieux. Le Musée des beaux-arts
est une institution très respectée dans
le monde et Montréal est une ville
attirante pour les Européens. À suivre!
Lundi 20 novembre 2006
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Google et la société...
LeStudio1.com existe grâce à Google!
En effet, plus de 75% des quelques
1 000 à 1 500 visiteurs quotidiens sur
notre site internet proviennent d'une
référence Google. Personnellement,
je suis abonné à Google Mail depuis
les tous débuts et je suis un ardent
défenseur de l'idée d'une bibliothèque
universelle Google. D'ailleurs mon
ouvrage sur Pierre Péladeau est
accessible sur ce moteur de recherche.
La société actuelle a été transformée,
et pour le mieux, par la création de
Google il y a moins de 8 ans par deux
invidividus qui suite à leur rêve ont pu
changer le monde.
Il était donc évident qu'un geste de
gratitude de la part de LeStudio1.com
s'imposait et nous avons décidé de leur
offrir le titre de Personnalité de l'année.
Félicitations!
Lundi 27 novembre 2006
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Walt Disney...
Le célèbre personnage Walt Disney a
marqué mon enfance. Je me souviens
encore des émissions de télévision que
j'écoutais et où Walt Disney présentait
lui-même devant la caméra le programme
à l'affiche. Évidemment, je ne pouvais
pas saisir l'importance économique du  
personnage ni de l'empire qu'il avait bâti
mais j'avais simplement confiance au
personnage qui me parlait à l'écran.
Il me rassurait face à la vie.
C'est d'ailleurs l'une des conclusions du
livre biographique qui vient d'être publié.
Disney a amener les gens à rêver et avoir
confiance en la vie malgré les obstacles.
Bien sûr il a révolutionné le design
graphique et l'industrie des parcs
d'amusement mais il a surtout
contribué à nous faire rêver. Un telle
richesse dans une vie est inestimable
surtout qu'encore aujourd'hui son oeuvre
continu d'avoir cet effet auprès de
plusieurs jeunes et moins jeunes...
Pouvoir rêver.
Merci Walt!
Lundi 27 novembre 2006
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Stephen Harper et ses
détracteurs...
LeStudio1.com est apolitique mais
les membres de l'équipe ont chacun
leurs opinions personnelles.
Dans mon cas, je suis un supporteur de
Stephen Harper. J'ai même proposé son
nom à titre de personalité de l'année de
LeStudio1.com mais ça n'a pas passé
la rampe auprès de mes partenaires...
L'an prochain peut-être?
Selon-moi, Harper est un grand Premier
ministre car il n'est pas là par vengeance
comme certains politiciens provinciaux ou
fédéral, ni pour s'enrichir financièrement
comme d'autres. Pour ces deux raisons, il
pourra accomplir des changements selon
savéritable vision politique. Un  homme ou
une femme qui a des idées est un atout
pour la société. Je crois que le Premier
ministre Harper est ce genre de personne .
Lundi 4 décembre 2006
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Conrad Black est
un reflet de la société...
J'ai rencontré Conrad Black a deux
reprises dans ma vie. Il ne m'a pas
semblé différent des autres personnages
importants que j'ai pu rencontrer, ni plus
ni moins manipulateur. La vie en société
est une jungle en soi et il ne faut pas se
surprendre que certaines personnes
veuillent tromper leur environnement
quant à leurs motifs et buts véritables.
Conrad Black a peut-être commis des
crimes mais selon moi il y a pire
criminels. Le violeur de femmes,
le pédophile, le tueur fou ou par
préméditation, etc. Le scandale des
commandites est même pire que les
actions reprochées à Black car, dans son
cas, il a joué contre des gens qui étaient
eux-même des manipulateurs à leurs
heures. La lecture du livre de Tom Bower
ne rend pas Black plus méchant mais
elle nous rend triste face à la société
en générale...et surtout plus prudent!
Lundi 4 décembre 2006
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Céline Dion et
René Angélil
J'ai toujours eu beaucoup de
respect et d'admiration envers
René Angélil. Il représente,
selon-moi, le parfait manager pour
une artiste. Mais il y a des puristes
qui ne l'aiment pas. Je peux aussi
comprendre leur sentiment car
Angélil est comme un gagnant à la
loterie. Les critiques et certains
artistes peuvent se demander:
«Pourquoi lui et pas moi?»
La réponse est une question de
chance et de hasard. René et Céline
se sont rencontrés au bon moment
et leur deux personnalités et leur
talent respectif ont fait en sorte que
le résultat fut exceptionnel. Mais il
faut toujours considérer la critique
tout comme les compliments avec
un peu de détachement.
L'important est d'être heureux...
Lundi 11 décembre 2006
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Le nouveau chef du
Parti libéral du Canada
J'ai suivi, comme beaucoup de
personnes, le vote à la chefferie du
Parti libéral du Canada. Mon candidat
favori était Bob Rae. Il a du style et
et il m'apparaissait le meilleur de
tous les candidats. Mais le choix de
Stephane Dion me plaît et je suis
convaincu qu'il fera un excellent
Premier ministre, s'il gagne les
élections devant Stephen Harper.
Le style Dion est très intéressant
et surtout il semble être très
respectueux des valeurs d'une
société démocratique et juste envers
chacun des citoyens. Il faudra voir
la suite mais déja les sondage
d'opinion le place favori devant les
autres chefs de parti. On appelle ça
la lune de miel...La seule tristesse
est l'échec de Bob Rae. Je ne crois
pas qu'il sera candidat lors de la
prochaine élection.
Lundi 11 décembre 2006
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La photographie numérique...
Mon premier appareil photo fut un simple
Instamatic de Kodak. C'était en 1972. Ce fut
aussi mon appareil le plus agréable. Je l'ai
encore mais l'on a cessé de fabriquer les films.
J'ai aussi conservé plusieurs de mes autres
appareils photo comme ce modèle Minolta 700.
Une machine qui était très performante.
Ma grande tristesse est mon Nikon F5 qui
est à sa retraite dans mon placard. Cette
machine fut définitivement la plus puissante
que j'ai utilisée. Je travaille aujourd'hui avec
un Nikon D200 et un Canon SD900 (compact).
Deux appareils très puissants mais selon-moi,
le digital n'a pas encore vraiment dépassé la
qualité que procurait le film.  On y arrivera
peut-être mais le film produisait des photos
d'une qualité supérieure au niveau de la
reproduction de la lumière. Le digital est
évidemment plus rapide et plus accessible.
Ma mère n'a jamais connu le digital mais
elle était une grande photographe. Elle savait
bien cadrer et elle photographiait à la lumière
du jour. Elle utilisait un appareil vertical de
calibre 126. C'est elle qui a été mon inspiration.
Vous pouvez voir ses photos sur le site internet.
Lundi 18 décembre 2006
Octobre à Décembre 2006
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